
Imaginées en 2006 par le ministère chargé de l'Agriculture, les Unités Mixtes Technologiques (UMT) visent à faire collaborer des équipes de recherche publique et des organismes techniques professionnels (instituts techniques agricoles ou agro-industriels) sur des projets de recherche-développement à vocation nationale, construits et menés en commun autour de thématiques prioritaires pour le développement des secteurs agricoles et agro-alimentaires. Ce rapprochement des acteurs est favorisé par leur regroupement géographique.
Avec la flaveur, la tendreté de la viande de bœuf est l’un des critères de qualité les plus recherchés par les consommateurs (Bonny et al., 2017 ; Legrand et al., 2013 ; Justine, 1999). Elle est pourtant irrégulière et contribue sans aucun doute à limiter la consommation, puisqu’il n’existe aucune relation nette entre le prix de la viande bovine proposée au consommateur et la qualité gustative de cette viande (Bonny et al., 2016a, Normand et al., 2014). Certaines techniques sont à la disposition de la filière pour améliorer la tendreté, à l’instar de la maturation, bien connue, ou encore de la suspension pelvienne. L’influence de la maturation sur la tendreté de la viande n’est plus à démontrer (Hostetler et al., 1975 ; Eikelenboom et al., 1998 ; revue de Culioli, 1999; Bastien et al., 2002 ; Bastien et Tribot Laspière, 2003 ; Hopkins, 2004 ; Bauchart et al., 2010 ; Marzin et al., 2011 ; Devine et al., 2017).
Depuis l’aube des temps, les humains ont eu un impact sensible sur leur environnement et ont contribué à faire évoluer les espèces qui les entouraient. En particulier, au cours du processus de domestication, ils ont induit une pression sur certaines espèces, en choisissant et organisant la reproduction des individus les plus adaptés à la cohabitation avec eux ou, plus globalement, ceux dont les aptitudes correspondaient le mieux à ce qu’ils en attendaient (nourriture, travail, vêtements …). La domestication des espèces animales, il y a 10 000 ans ou plus, est ainsi à l’origine de leur sélection et du démarrage de ce que l’on désigne aujourd’hui comme leur « amélioration génétique ». Cette sélection, totalement empirique initialement, a fait évoluer le comportement, le format et les « performances » des espèces domestiquées, contribuant progressivement à l’établissement des pratiques d’élevage.
L’emballage des denrées alimentaires ne se limite plus à ses fonctions traditionnelles de prévention des risques intrinsèques et extrinsèques, de conditionnement et stabilisation du produit et de communication des informations légales. Diminuer le gaspillage alimentaire grâce à une meilleure gestion des dates de péremption et des quantités emballées, limiter la pollution environnementale grâce à des matériaux recyclables ou biodégradables, éviter le suremballage tout en assurant la sécurité et la qualité des produits sont autant d’enjeux sociétaux et de défis à relever par le secteur de l’emballage.
L’agriculture doit répondre à de nombreux enjeux, dont l’augmentation de la population (plus de 9 milliards en 2050) et l’expansion concomitante de la demande alimentaire (de l’ordre de 70 %), alors que les ressources naturelles et les terres arables sont limitées. Malgré une large gamme de services économiques, sociaux, culturels et environnementaux, l’élevage fait face, depuis plusieurs années, à différentes critiques en lien notamment avec le respect de l’environnement, de la vie et du bien-être de l’animal mais aussi à propos de la concurrence entre alimentation animale et humaine, et des risques associés à une surconsommation de viande rouge …
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